dimanche 15 avril 2007

Grrrr...

Cette nuit, après un très long vagabondage sur le net, je me suis dit "tiens si j'allais terminer ma dissert interminable de psycho/socio?". Magnifique idée. Mon gros soucis à moi, c'est que je n'arrive plus à travailler quand il faut, mais seulement quand je suis motivée alors quand une telle soudaine inspiration pour écrire 7 pages sur "ces objets qui nous gouvernent" (sujet super intéressant et ultra chiant au passage), je ne rate pas l'occasion qui se fait si rare et j'écris.
7h30 du matin : j'ai finis. Je vais dans la cuisine, donne à manger au lapin de ma soeur, me fait un thé, prends un yaourt et vais dans le salon. Je zappe, je zappe, je zappe pour tombé sur Denver le dernier dinosaure (pile sur le générique) sur Direct 8. Après être retombée en enfance en ayant chanté ce maudit refrain que j'a toujours dans la tête, je rezappe, rezappe, rezappe pour tomber sur FashionTV, la chaîne ou il y a tout un tas de défilé pas intéressant. Je bois mon thé trop chaud et mon yaourt et je m'amuse à me dire"ça j'aime, ça j'aime pas". Puis une collection super moche (d'un certain Léonard ou Lorendo je sais plus) arrive, ça m'endors, chouette, je vais au lit. Je tourne dans tous les sens, entends ma mère utiliser le micro-ondes, je n'ose pas regardé l'heure mais me dit qu'il doit être plus de 9h et moins de 10h.
Au final, je trouve le sommeil. Et à 11h30, Z. (une copine) m'appelle pour me demander si je veux aller au marché avec elle. Elle est comme ça Z. . Jamais elle te préviendra à l'avance. Toujours au jour le jour. Je lui réponds en riant que vu dans l'état de fatigue que je suis, il m'est impossible de me lever. L'appel aura duré à peine 2min.
Et là, le calvaire commence. J'ai Denver le dernier dinosaure dans la tête, j'ai chaud, j'enlève la couette, j'ai froid, je la remets, puis j'ai chaud. J'essaye de me souvenir de mon rêve pour me rendormir mais ne parviens qu'à visualiser une seule image : un machin que j'aurais mis dans l'eau, qui l'aurait rendu flou et qui aurait rendu plein de petits dépôts noirs. Je me fais mal à la tête pour me souvenir de ce qu'était le machin mis dans l'eau.
Etant à moitié folle (rassurez moi et dites moi que ça vous arrive aussi), je n'arrive pas à dormir avec la lumière (ne me dites pas "fallait l'éteindre!", je parle de la lumière du soleil là), donc je mets ma couverture sur la tête mais la j'ai peur d'étouffer alors il faut (comme toujours) que je trouve un mécanisme pour cacher mes yeux mais laisser mon nez dehors le tout sans avoir ni trop chaud, ni trop froid.
Apres avoir trouvé cette fameuse position, j'entends ma tempe battre, ce qui m'énerve profondément donc je me tourne et donc défais ma position que je dois retrouver. Puis j'entends le tic-tac du réveil qui me paraît de plus en plus fort. Puis ma mère qui ouverte la porte de salon qui fait du bruit, puis la referme. Puis les oiseaux de dehors qui font cui-cui aussi fort que les tic-tac du réveil (tout ça en cherchant ma position pour dormir). C'est insupportable. Puis viens une petite voix dans ma tête (j'ai déjà dit que j'étais à moitié folle hein) et me dis "et si t'allais écrire tout ça sur ton blog", moi raisonnable "mais non, je vais dormir". Cette idée d'écrire mon calvaire se faisait de plus en plus présente, j'ai donc été obligée de me lever pour écrire pour enfin avoir la paix. Je n'ai même pas pris le temps de mettre mes lunettes et ne pense qu'à retourner me coucher mais maintenant, j'ai faim et j'ai envie d'aller faire pipi.
J'ai dormis 2h je crois et c'est nul. Je suis de mauvaise humeur j'espère réussir à me rendormir un peu avant que mon papa vienne me chercher à 14h (et à tous les coups, je vais me rendormir vers 13h15 pour que ma mère me réveille à 13h30...)Grrrr....

samedi 14 avril 2007

Le Printemps/Eté 2007 par 6 Créateurs

C’est une collection aux influences multiples que proposent Roberto Cavalli et Eva Duringer, son bras droit au style. Grands volants à l’espagnole et boléro de flamenco en macramé pour le soir. Envolées de mousseline et de soie sur de grands cafetans orientaux, broderies de cristaux, volutes de fil d’or et cabochons aux couleurs de pierres précieuses échappés d’un sérail, fourreaux translucides aux découpes sexy et couleurs franches sortis d’un vestiaire de danseuse aux sept voiles, manteau en dentelle laquée or rose venu d’un dressing d’altesse de quelque sultanat éloigné. Semis de fleurs à l’anglaise. Franges amérindiennes en daim. Kimonos, broderies et couleurs façon vase Ming. Si l’on rajoute à ces « united styles of Cavalli » (son compatriote Benetton fête ses 40 ans cette année) les incontournables imprimés léopard chers au fondateur de la maison posés sur des corsets lacés et des robes du soir, c’est l’opulente panoplie d’une riche oisive qui sera disponible en boutique.

La créatrice italienne Alberta Ferretti ne change pas la formule qui a fait son succès depuis 1974 : fluidité accentuée de mousseline, courbes féminines sans excentricité mais jamais classiques.

Tranquillité, évanescence, sérénité. Une sorte de paix intérieure semble émaner de la collection de Marc Jacobs.

Rei Kawakubo rend hommage à son pays et affiche en grand sur sa collection un soleil levant écarlate, emblème de son Japon natal. Fardées de blanc, ses geishas du siècle envoient des messages concentrés sur la paix, la beauté et la grâce de la nature, sur de simples T-shirts, des gilets en organdi et de longs tutus en tulle. On retrouve ce symbole déstructuré, éclaté sur des tops à pans étagés et des vestes patchworks. Alors qu’un nouveau Premier ministre, fervent nationaliste, venait d’être nommé à la tête du gouvernement nippon, la tentation d’y voir un acte militant est grande… Cette construction torturée est une constante dans l’univers Comme des Garçons.

José Enrique Ona Selfa imagine pour le printemps prochain une collection réduite au strict minimum, concentrée sur un essentiel de petites robes retenues par de grands cols cheminées, de chemises en popeline, de blouses et de shorts aux imprimés floraux hyperrétro, trop surannés. Aux côtés de ces looks calibrés pour une croisière en Méditerranée, un séjour sur une île fashion et retirée, les molécules qui composent l’ADN de Loewe passent en filigrane.

On sent le créateur Louis Vuitton heureux, à l’aise, bien dans son nouveau look (silhouette parfaite et coupe de cheveux ad hoc), et ce bien-être rejaillit sur sa collection.
Source

L'Automne/Hivers 2007-08 par 6 Créateurs

Anna Sui poursuit son travail avec la légèreté et l’humeur enfantine qu’on lui connaît. Sous des bonnets de paillettes orange, de grandes petites filles défilent avec des bottes ou des babys à brides et des chaussettes hautes de collégiennes. Pour leurs robes, tous les effets sont autorisés : housse, chasuble, col Claudine, manches ballon, et même du nylon de parka

Forcément fatales, les belles en La Perla défilent le cheveu cranté, ceinturées de strass, les hanches drapées dans une jupe vrillée, le buste dans un décolleté coeur bordé de cristaux. Tout l’arsenal de la séduction est là, jusqu’à la robe longue à drapé de mousseline sur bustier baleiné en chantilly noire.

C’est la volupté d’un week-end chic à la campagne que reflète le très bon show Sportmax. Tout y est, du costume pantalon trois-pièces en lainage caviar à la robe à haut en maille et jupe de velours côtelé. Un grand manteau en prince-de-galles à capuche réchauffe une robe en laine châtaigne.
Chez Sonia Rykiel, on retrouve les codes qu’on adore : le noir, le tailleur pantalon masculin oversized en jersey de laine noir, le manteau de renard blanc ultraglamour, les grands pulls gris chaleureux, les cardigans XXL et les robes flirt en voile de laine ornées de roses Art déco à l’épaule. On devine en transparence les bas des filles qui défilent en souriant. Tout va bien.
Arnaud Maillard livre sa première saison chez Sybilla, un vestiaire sans erreur, équilibré et complet qui montre une belle maturité. De quoi envisager son avenir chez la marque espagnole avec sérénité.
« La femme Dolce et Gabbana est une femme forte qui se plait et sait qu’elle plait. Une femme cosmopolite qui a fait le tour du monde mais n’oublie pas ses racines. Mère, épouse, maîtresse mais toujours femme à fond. » source

dimanche 8 avril 2007

Relax, take it eaaaaaaasy...


"Everybody's gonna love today, gonna love today, gonna love today
Everybody's gonna love today, gonna love today
Anyway you want to, anyway you've got to
Love love me, love love me, love love" [Love Today]


Petit chanteur qui te fais sauter sur ton lit!!!
Tu déprimes? Ecoutes cet album et toutes les couleurs l'album exploseront tout autour de toi!!

Mika au Trabendo (Paris) - 04/04/07 - "Relax, Take It Easy"


[désolée, le son est un peu naze]


samedi 7 avril 2007

Le Tri



Etant en plein changement de style total et à la venue de l'été, il fallait bien penser à le faire ce tri.
En surfant sur le blog de Balibulle, j'ai découvert LA méthode de tri de Caroline que vous pourrez trouver ici.
Bon j'avoue ne pas avoir tout respecté : j'ai garder 2/3 trucs pour "quand j'irais à la plage", "pour dormir", "pour faire le ménage" et enfin "pour trainer".
Mais comprennez moi : c'était sentimental!!!
J'ai retrouvé des trucs que je mettais pour le sport au collége!!
Au total, 6 sacs que je vais déposer demain au dépôt vente (déposer au dépôt, je sais, c'est pas malin).
J'ai gardé des choses que je ne vais évidemment plus jamais porter mais déja, se débarasser de 6 sacs de "trop petit" "trop moche" (souvent trop moche) "trop vieux" et "trop plus ton style, il faut que tu changes ma petite"...c'est énorme!!
Tous les ans, je le fais ce tri et je donne quoi, 2 pantalons et 3 hauts.
Aujourd'hui, c'est 6 sacs!!!
Ca a du négatif : il y a des souvenirs derrière ces vêtements si moches soient ils : mon pull marron de mon 1er vrai rencard ou mon t-shirt qui avait fait dire à ma maman "ça te fait une jolie poitrine" bref, que de souvenirs dont je me sépare!
Mais le plus important, c'est le positif : mon armoire respire, nouveau pretexte pour la remplir, je ne serais plus tenter de mettre des trucs vraiment laids (même si je n'ai pas pu me debarasser de certains).
Et puis, comme je vous ai dit, je suis en plein changement de style, c'était donc ultra necessaire et dans 2 jours, j'aurais oublié!